« L’étonnante histoire architecturale des maisons-bulles »
Maison des Seniors et de la Culture Bluma Fiszer
1 ter rue Charles Baudelaire 75012 PARIS
Tél : 09 72 38 25 94
Pétition pour appuyer l’inscription à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques de la caserne Jacques Vion de Jacques Debeaux à Toulouse.
https://www.change.org/p/sauvegardez-la-caserne-jacques-vion-chef-d-œuvre-de-l-architecte-pierre-debeaux?utm_source=share_petition&utm_medium=custom_url&recruited_by_id=2713fa90-8c4b-11ed-9278-1b4bde8b8959
Le Havre, samedi 17 septembre à 11h30 au MuMa avec l’association Maison de la Culture du Havre.
Mission d’AMO (diagnostic et étude historique) sur l’évolution des usages de l’Espace Oscar Niemeyer avec l’architecte Inessa Hansch (mandataire).
2021, mise à jour de 17 fiches Docomomo consacrées aux bâtiments de la reconstruction de la ville du Havre.
2003-2005, mission pour la Ville du Havre : réalisation de 31 fiches Docomomo sur la reconstruction du Havre dans le cadre de sa demande d’inscription sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco, obtenue en juillet 2005.
Les leçons des pionniers de l’écologie
Anne Démians, première architecte sous la coupole
Pierre-Antoine Gatier, la pierre et le béton sous la coupole
Voyage autour d’une chambre obscure
Borel, Barani, Ibos et Vitart exposés à la Cité de l’architecture
Xenakis, la musique des paraboloïdes hyperboliques
Dossier Comment aborder le rivage français
Habitat participatif de Simon Teyssou à Clermont-Ferrand
Souto de Moura, La Comédie, Clermont-Ferrand
Charles-Henri Tachon, un collège à Saulieu
Salle des fêtes dans la Sarthe par Robin Boidot
Entretien avec Sébastien Petithuguenin, directeur général de Paprec
Ramdam dans le XVIIe arrondissement de Paris
Un pavillon hybride dans un lotissement
Une halle normande bousculée par son toit
Yona Friedman, architecte libre
La Cité internationale de la tapisserie à Aubusson
Une école au plus près du terrain
Au Havre le Volcan se réveille
Bulletin de souscription pour L’Esthétique des Trente Glorieuses, sous la direction de Gwenaële Rot et François Vatin :
« On considère avec nostalgie les Trente Glorieuses comme si, dans les années 1945-1975, avait régné l’abondance économique, alors qu’il fallait d’abord reconstruire un pays en ruine, mais on dénigre son bilan idéologique et culturel, qui aurait été dominé par une croyance illusoire au progrès. Pollution, urbanisme sans âme, matières plastiques imputrescibles, tels seraient les seuls legs de ce temps d’inconscience. Aussi, l’architecture et l’art monumental des Trente Glorieuses, encore mal-aimés, ont subi beaucoup de destructions et commencent à peine à être patrimonialisés.
Or, comme le montrent les études réunies ici, en dépit de l’urgence de la reconstruction, on a accordé à cette époque une grande importance aux questions esthétiques. On faisait confiance aux nouveaux moyens techniques pour faire du beau moins cher à destination du plus grand nombre. Esthétique fonctionnelle et démocratisation artistique sont étroitement liées. On comprend dès lors le rôle central de l’industrie dans les représentations de ce temps. Contre l’opposition romantique du beau et de l’utile, il fallait réinstaller le monde industriel dans les valeurs humaines. Les usines, aussi, devaient être belles comme fonctionnelles, et constituer un objet d’intérêt pour l’art. La démocratisation du beau exigeait qu’il s’impose dans les lieux de travail. Inversement, l’expérience industrielle de la simplicité, de la cohérence, pouvait nourrir l’inspiration artistique.
Réunissant vingt-quatre spécialistes qui croisent leurs multiples terrains, cet ouvrage vise, non à défendre l’esthétique des Trente Glorieuses, mais à la restituer dans sa complexité. Il invite le lecteur à regarder un peu différemment un passé trop proche pour qu’on puisse encore pleinement l’estimer. »
Intervention sur la préservation des Tours Nuages d’Émile Aillaud à Nanterre, samedi 19 octobre à 17h à la maison régionale de l’architecture des Pays de la Loire à Nantes.